Les envoûtés, Witold Gombrowicz. Tennis, fantômes et beaux dormeurs. Une joie. – Jakuta Alikavazovic
Résumé de l’éditeur
Paru en feuilleton simultanément dans deux quotidiens polonais durant l’été 1939, ce roman fut interrompu par la guerre. Les trois derniers chapitres, qu’on avait crus définitivement perdus, ont été retrouvés en 1986 et confèrent au roman un étonnant dénouement.
«Dans Les envoutés, le génie de Gombrowicz bouleverse les données traditionnelles du roman noir. Il explore ici sa propre légende et révèle son originalité : dédoublement, amour-haine, répulsion, possession et culpabilité.» Paul Kalinine.
Source : Gallimard